Thomas Craven est un inspecteur vétéran de la brigade criminelle de Boston. Il élève seul sa fille de vingt-cinq ans. Lorsque celle-ci est retrouvée assassinée sur les marches de sa propre maison, personne n'a de doute : c'est lui qui était visé. Pour découvrir qui a tué sa fille, l'inspecteur Craven va devoir s'aventurer dans les milieux troubles où les affaires côtoient la politique. Il va aussi devoir découvrir les secrets de celle qu'il croyait connaître. Dans cet univers où chaque intérêt est supérieur, où chaque information vaut plusieurs vies, face à l'éminence grise du gouvernement envoyée pour effacer les preuves, la quête solitaire de Craven va le conduire au-delà de la pire enquête de sa vie, face à ses propres démons...
After all the controversy and rigorous debate has subsided, Mel Gibson's The Passion of the Christ will remain a force to be reckoned with. In the final analysis, Gibson's Folly is an act of personal bravery and commitment on the part of its director, who self-financed this $25-30 million production to preserve his artistic goal of creating the Passion of Christ (Passion in this context meaning suffering) as a quite literal, in-your-face interpretation of the final 12 hours in the life of Jesus, scripted almost directly from the gospels (and spoken in Aramaic and Latin with a relative minimum of subtitles) and presented as a relentless, 126-minute ordeal of torture and crucifixion. For Christians and non-Christians alike, this film does not entertain, and it's not a film that one can like or dislike in any conventional sense. (It is also emphatically not a film for children or the weak of heart.) Rather, The Passion is a cinematic experience that serves an almost singular purpose: to show the scourging and death of Jesus Christ in such horrifically graphic detail (with Gibson's own hand pounding the nails in the cross) that even non-believers may feel a twinge of sorrow and culpability in witnessing the final moments of the Son of God, played by Jim Caviezel in a performance that's not so much acting as a willful act of submission, so intense that some will weep not only for Christ, but for Caviezel's unparalleled test of endurance.
Leave it to the intelligentsia to debate the film's alleged anti-Semitic slant; if one judges what is on the screen (so gloriously served by John Debney's score and Caleb Deschanel's cinematography), there is fuel for debate but no obvious malice aforethought; the Jews under Caiaphas are just as guilty as the barbaric Romans who carry out the execution, especially after Gibson excised (from the subtitles, if not the soundtrack) the film's most controversial line of dialogue. If one accepts that Gibson's intentions are sincere, The Passion can be accepted for what it is: a grueling, straightforward (some might say unimaginative) and extremely violent depiction of the Passion, guaranteed to render devout Christians speechless while it intensifies their faith. Non-believers are likely to take a more dispassionate view, and some may resort to ridicule. But one thing remains undebatable: with The Passion of the Christ, Gibson put his money where his mouth is. You can praise or damn him all you want, but you've got to admire his chutzpah.
A Bucks County, en Pennsylvanie. Après la perte de sa femme, Graham Hess a rendu sa charge de pasteur. Tout en s'occupant de sa ferme, il tente d'élever de son mieux ses deux enfants, Morgan et Bo. Son jeune frère Merrill, une ancienne gloire du base-ball, est revenu vivre avec lui pour l'aider. Un matin, la petite famille découvre l'apparition dans ses champs de gigantesques signes et cercles étranges. Des extra-terrestres seraient-ils à l'origine de tels phénomènes surnaturels ? Graham et Merrill vont s'efforcer de percer le mystère qui entoure ces dessins.
1776, caroline du sud. le conflit entre les indépendantistes et les anglais semble inévitable. benjamin martin, qui connaît trop bien les horreurs de la guerre, ne veut pas s'en mêler. mais n'a pas le choix, il se lance à corps perdu dans le conflit. son désir de vengeance, et sa soif de liberté vont faire de lui l'un des héros de la guerre d'indépendance.
Six ans que les fans du duo de flics le plus célèbre du cinéma attendent... plus déjantés et drôles que jamais, riggs et murtaugh repassent enfin à l'action ! suite à une série de crimes, leur investigation les mène à enquêter sur un certain sing ku, membre influent des triades et maître en arts martiaux...
Fin du xiiième siècle, dans une ecosse écrasée sous la domination anglaise, un homme va se lever et donner le signal de la révolte... seconde réalisation de l'acteur mel gibson, après l'homme sans visage, cette fresque gigantesque réunit sophie marceau, patrick mac goohan (le prisonnier) et mel gibson lui-même dans le rôle du héros william wallace. braveheart remporta 5 oscar dont ceux du meilleur film, du meilleur réalisateur et de la meilleure photographie.
Le plus célèbre duo de flics du cinéma est de retour ! martin riggs et roger murtaugh, toujours encombrés de l'impossible leo getz, enquêtent sur un traffic d'armes particulièrement redoutables dont les balles transpercent les gilets pare-balles. mais énergique inspectrice de l'igs, aussi folle que riggs, est déjà sur le coup...
Riggs et Murtaugh. le blanc et le noir. les deuc flics les plus redoutés de los angeles ! confiez-leur la protection rapprochée d'un petit comptable marron et ils vous mettent à jour un formidable trafic de drogue dans lequel le consulat d'afrique du sud est mouillé jusqu'au cou ! ... face à ses assassins protégés par l'immunité diplomatique, les deux policiers useront des moyens les moins conventionnels pour triompher de la justice. riggs n'a pas été surnommé 'l'arme fatale' pour rien : au petit jeu de la folie destructrice, il n'y a pas pire que lui ! ...
Pour roger murtaugh, cinquante ans tout juste, bon policier, deux choses comptent à présent : sa famille et la retraite. mais voilà qu'on lui a fait un cadeau empoisonné : martin riggs, jeune flic de la crime, rompu aux techniques du combat, mais doté d'un instinct suicidaire prononcé. et dans la sordide affaire de suicide qu'ils doivent démêler, roger murtaugh va apprendre à ses dépens pourquoi riggs mérite le surnom d'arme fatale
Est-ce dû à sa provenance, l'Australie ? Le premier de la série des Mad Max est d'un hiératisme qui fait passer le sable du désert sillonné par Mel Gibson pour un fanfaron. Le faible budget du film explique bien sûr en partie son délectable dépouillement, ainsi qu'un scénario peu excessif dans ses développements. Mais ce qui fait d'abord sortir l'?uvre de l'écran est le jeu d'un Mel Gibson pré-Arme fatale, digne et contenu donc, peu encombré par ses répliques monosyllabiques, et d'abord occupé à actionner le compresseur volumétrique de son Interceptor. Lancé sur des routes sans horizon, il suit sous les yeux ravis d'un spectateur, par ailleurs habitué aux choses hollywoodiennes, un parcours personnel travail (police de la route dans l'Australie postapocalyptique, pas glamour)-famille (une jeune et jolie femme, mère d'un jeune et vigoureux bébé)-vengeance (ces charognes pleureront des larmes de sang) visible et revisible sans fin. À l'inverse de ses suites trop assujetties aux modes de leur époque, le premier Mad Max supporte son âge, les histoires de flics vengeurs en tire gonflée, à la poursuite de motards crasseux pour les brûler vif (où leur rouler dessus quand ils laissent tomber la cérémonie), s'avérant être très atemporelles. Les gros plans sur le moteur proéminent de la voiture de Max comme principale idée de mise en scène, le film évite les débordements précieux que le genre devrait consentir au public familial une fois récupéré par Hollywood. Et puis, le look cuir-bottes-Ray Ban de Mel Gibson garçonnet (vingt-trois ans) a marqué au point de faire la gloire de tous les minets rock des années 80, Billy Idol en tête. Mais, quand celui-ci et ses collègues se sont couverts de ridicule, Max en rajoute dans le côté aride, aride, aride du meilleur rôle de son interprète. --Florian Pittion